Avec : David Burns, vice-recteur associé (Affaires académiques), l’Université polytechnique Kwantlen (KPU)
Cette séance traitera d’un modèle de compétences conçu à l’Université polytechnique Kwantlen (KPU) visant l’utilisation de l’intelligence artificielle générative – non pas par les informaticiens mais plutôt par nous tous. David Burns, vice-recteur associé (Affaires académiques), discutera des premiers défis qu’il a vu poindre dans son secteur de l’établissement et des moyens pris par l’équipe avec laquelle il travaille pour les relever.
Points importants à retenir :
Plusieurs compétences clés pour une utilisation responsable de l’IA générative ont été suggérées par les représentants de l'industrie et du gouvernement contactés par KPU dans le cadre de l’élaboration de son approche.
Ces compétences changeront (et changent déjà aujourd’hui) au fil du temps.
Il serait souhaitable que les établissements fassent preuve d’un optimisme prudent.
Cette conversation vitale se concentre sur le leadership inspiré des femmes philanthropes dans un contexte de dons annuels. Cette séance présente une étude de cas sur une initiative de collecte de fonds menée par des bénévoles qui a permis de recueillir 130 000 $ en 12 mois auprès d'anciens étudiants de McGill, soulignant le rôle des équipes de dons annuels, de relations avec les anciens et de communications dans le soutien des bénévoles. Cette séance explore également la manière dont de telles initiatives pourraient réussir dans d’autres groupes de donateurs sous-représentés.
Pour accéder à ce poste, vous devez être membre du CCAE.
Comme toute nouvelle technologie atteignant actuellement l’apogée du Gartner Hype Cycle, l’IA dans toutes ses permutations est incontournable. Mais de quoi s’agit-il réellement et comment cela affecte-t-il les organisations à but non lucratif ? Cette session fournira une introduction douce et simple à l'IA, dissipera certains mythes et fournira une approche fondée sur la manière dont les organisations à but non lucratif peuvent utiliser cette technologie pour faire avancer leurs missions tout en se sentant en confiance pour naviguer dans cet espace en constante évolution.
Pour accéder à ce poste, vous devez être membre du CCAE.
Dans le but d'atteindre une croissance transformationnelle des résultats de collecte de fonds grâce à sa campagne Defy Gravity, l'Université de Toronto a récemment rétabli l'utilisation de frais sur les dons non réutilisables et les distributions de dotations comme source de financement supplémentaire pour l'avancement. Après avoir examiné les meilleures pratiques couramment utilisées dans les établissements d'enseignement supérieur au Canada et aux États-Unis, et examiné les structures de frais connexes dans les secteurs de la santé et de la culture, l'Université de Toronto a conçu et mis en œuvre une approche en matière de frais de don appelée U of T Advancement Investment Model. (AIM).
Au cours de l'élaboration de ce modèle, des conversations avec d'autres dirigeants de l'avancement universitaire canadien ont cristallisé un désir commun d'un énoncé national des meilleures pratiques, articulant des principes directeurs et des paramètres recommandés pour l'élaboration et la mise en œuvre de modèles de frais de don dans l'enseignement supérieur.
Joindre à David Palmer, vice-président, Avancement, à l'Université de Toronto, qui explorera les enseignements tirés du modèle d'investissement pour l'avancement de l'Université de Toronto et la manière dont ces apprentissages ont éclairé la création d'un ensemble proposé de principes directeurs pour le financement supplémentaire. Sources d’avancement en tant qu’ébauche d’énoncé national des meilleures pratiques – préparé spécifiquement pour discussion lors de la réunion des hauts dirigeants du CCAE. La présentation sera suivie d'une discussion ouverte entre les hauts dirigeants sur le financement des opérations d'avancement dans un climat économique difficile.
Objectifs d'apprentissage
Explorer les meilleures pratiques et les principes directeurs pour l'utilisation des frais de don et des évaluations de dotation, et comment ces pratiques peuvent soutenir une croissance transformationnelle dans les programmes de collecte de fonds.
Discutez des défis uniques posés par le climat économique actuel avec des leaders en avancement de partout au pays.
Le CCAE s’est engagé à créer un environnement sécuritaire, productif et accueillant pour toutes les personnes présentes aux rencontres qu’il organise. Ces personnes – incluant sans s’y limiter les participant·es, les conférencier·ères, les bénévoles, les exposant·es, les membres de son personnel, les prestataires de service et toutes les autres personnes – doivent se conformer au présent code de conduite. Cette politique s’applique à toutes les activités liées aux événements qu’il organise, notamment celles qui sont parrainées par d’autres organisations et qui se déroulent conjointement avec des événements du CCAE sur des plateformes privées ou publiques.
Le CCAE applique une tolérance zéro pour toute forme de discrimination ou de harcèlement. Si vous êtes victime de harcèlement ou entendez parler d’incidents impliquant un comportement inapproprié, veuillez en informer le bureau du CCAE admin@ccaecanada.org.
Un comportement inacceptable est défini comme suit :
Toute forme de harcèlement, d’intimidation ou de discrimination.
Abus verbal à l’encontre d’une personne (participant·e, conférencier·ère, bénévole, exposant·e, membre du personnel du CCAE, prestataire de service ou autre personne invitée à la rencontre).
Les exemples d’abus verbal incluent, sans s’y limiter, les commentaires verbaux liés à l’âge, au sexe, à l’orientation sexuelle, au handicap, à l’apparence physique, au poids, à la race, à la religion, à l’origine nationale, à l’utilisation inappropriée de la nudité et/ou d’images sexuelles dans les espaces publics ou lors de présentations ou les menaces ou le harcèlement à l’encontre d’une personne (participant·e, conférencier·ère, bénévole, exposant·e, membre du personnel du CCAE, prestataire de service ou autre personne présente à la rencontre).
De plus, les participant·es sont prié·es de respecter les règles suivantes :
L’enregistrement ou la transmission des séances d’éducation, présentations, démos, vidéos ou contenus en quelque format que ce soit est strictement interdit.
Perturbation des présentations durant les séances, dans le salon des exposants ou lors de tout autre événement organisé par le CCAE pendant le congrès. Tou·tes les participant·es doivent se conformer aux directives données par le modérateur ou la modératrice de la séance et par tout membre du personnel événementiel du CCAE.
Les présentations, publications et messages doivent être exempts de matériel promotionnel, d’offres spéciales, d’offres d’emploi, d’annonces de produits ou de sollicitation de services. Le CCAE se réserve le droit de supprimer ces messages et, potentiellement, de bannir les sources de ces sollicitations.
Les participant·es ne doivent pas copier ni prendre de captures d’écran des questions-réponses ou de l’activité sur les forums de discussion se déroulant dans des espaces virtuels.
Le CCAE se réserve le droit de prendre toute mesure qu’il jugera nécessaire ou appropriée, incluant l’exclusion immédiate du congrès sans avertissement ni remboursement, en réponse à tout incident impliquant un comportement inacceptable. Il se réserve également le droit d’interdire la présence à des événements futurs, virtuellement ou en personne.
Avec Ruth Dunley, directrice associée, Stratégie éditoriale, Université Queen’s
Dans la foulée des Rapports de la Commission de vérité et réconciliation, les diplômés de Queen's nous ont demandé de les aider à ouvrir une voie vers la réconciliation. Mais comment? Comment organiser quelque chose qui ait de l’impact, qui inciterait les diplômés à agir? Nous avons appris que si nous voulons qu’ils agissent, nous devons intervenir – en offrant possibilités expérientielles, collaboration et mise en récit. Travaillant de concert, le Bureau de l’avancement et le Bureau des initiatives autochtones ont collaboré avec Ry Moran de l’Université de Victoria à la création d’un parcours expérientiel unique en son genre d’une durée de cinq mois à l’intention de nos diplômés. Ce fut une démarche d’apprentissage empreinte d’émotion et d’empathie, quelque chose que nous n’avions jamais vécu, mais que nous savons vouloir revivre.
Remarque en raison de difficultés techniques, les 8 premières minutes de la séance sont manquantes. Cependant, le contenu principal est très précieux.
